Némésis
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 Aymerick Owens [ Fini ]

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Aymerick Owens
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Aymerick Owens


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Aymerick Owens [ Fini ] Empty
MessageSujet: Aymerick Owens [ Fini ]   Aymerick Owens [ Fini ] EmptyDim 18 Oct - 22:20

Nom: Owens

Prénom: Aymerick

Devise : Un véritable ami vous poignarde en face.

Pourquoi avoir décidé d'intégrer cette faction ? Pour mieux t'exploser.

Êtes-vous avec ou contre moi ? Contre..

Armes favorites : toute sortes de poignard.Je n'ai rien besoin d'autres pour te détruire.


Description psychologique (5 lignes minimum): Instable, lunatique, taciturne et pour finir insondable.Rajoutez paranoïaque aussi.Je l'avais oublier celui-là.Rien de bien beau.Je ne vous ai pas non plus demander votre avis.Il m'importe peu.Je suis un mur.Une barrière infranchissable qui me sépare du monde.Il y a la terre et moi.Vous et moi.Vous pouvez m'insulter autant que vous le désirez, me crier les pires injures, ses mots viendront s'écraser sur ma barrière sans m'atteindre.Seule une personne à réussit à entrer dans mon univers.Je ne la nommerais pas.Elle se reconnaitra bien toute seule et puis ça me rendrais vulnérable.Vous pourriez vous servir de cette personne contre moi.Je serais alors désarmer.Je n'aurais plus rien.Plus rien qui me retiendrais dans ce monde de fou.Cette personne est ma raison de vivre.Ne cherchez pas.Vous ne pourriez pas comprendre.Vous êtes bien trop stupide pour réussir à assimiler le lien qui nous uni.Vous n'êtes bon qu'à nous traiter d'impur, d'inceste.Vous n'êtes qu'une bande de cons.Vous essayez sans relâche de nous détruire.Avec vos mots, vos gestes.Vous faîtes tout pour nous abattre, nous briser.En fait, vous êtes jaloux.Jaloux de cette force qui nous soude.J'ai beau moi-même être jaloux comme personne, c'est une jalousie différente.C'est une preuve d'amour.La votre est sale.Construite à base de haine et de rejet. Changeons de sujet sinon ça va mal finir.Et je ne tiens pas à ce que vous mourriez en ayant une image négative de moi.Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai aussi des qualités, un côté positif.Je pense être honnête.Suffisamment pour vous crachez tout vos défauts à la gueule si vous me plaisez pas.Sincère aussi.La plupart du temps, tout ce que je dis, je le pense.Amis ou non, je ne regrette presque jamais mes paroles.Selon moi, ma qualité la plus importante doit être ma fidélité.Non, je ne suis pas vantard.Juste conscient de mes valeurs.C'est tout à fait différent.Je disais donc fidèle.Oui.Quand j'ai des amis, je ne les trahis pas.C'est pas mon genre.Je ne me sers pas des autres et ne joues pas avec leur sentiment sauf si je ne les porte pas dans mon cœur.Je suis serviable aussi.Sans que vous le sachiez je vous aide.Par des petites choses, par l'intermédiaire de quelqu'un. Jamais directement.Ne me demandez pas pourquoi, moi-même je l'ignore.C'est comme-ça.Je ne cherche jamais à aller plus loin et à me torturer l'esprit.Je prends les choses comme elle vienne et c'est tout.Ce n'est pas de la débilité.Au contraire, je suis très intelligent.Pas une grosse tête non plus mais suffisamment pour vous surprendre.Croyez-moi, il vaut mieux m'avoir de son côté.Ne me cherchez pas.Ne la touchez pas.Qui c'est ce qui pourrait vous arrivez de fâcheux....




Aime : Sa sœur, écouter de la musique,

Aime pas : Son père bien qu'il soit mort, savoir qu'il ressemble tellement à son père,



Description physique(5 lignes minimum): Tout en finesse...Je suis tout en finesse.Souple, agile, vif et véloce.Je ne joue pas de mon côté masculin qui me donne une démarche lourde et lente.Je me mouvois avec aisance et promptitude sans que cela fasse de moi une tapette comme dirait certains imbéciles.Au contraire, j'ai l'air de tout, sauf d'une fille.Mes cheveux châtains coupés court, mais suffisamment long pour que quelques mèches tombent devant mes yeux, sont indomptable.Impossible de les coiffer.Aussi, je ne perd pas mon temps et saute l'étape coiffage le matin.Mes yeux sont gris, couleur orage, acier.On m'a très souvent dit que j'avais un regard impressionnant.Il est vrai qu'il est plutôt étrange.Incitant au respect et en même tant doux et tendre.C'est un mélange assez inhabituel me diriez-vous et je suis tout à fait d'accord avec vous.Par la suite, j'ai un nez fin et très bien dessiné suivit de lèvres ni trop pulpeuse, ni trop mince.On ne voit presque pas mes pommettes et pour cause.Ma peau blanche et laiteuse ne laisse transparaître aucune couleur.Il est très rare de voir mes joues se coloraient de rouge.Ce qui, en soit, m'arrange beaucoup.Je n'ai pas une carrure très large.Comme je l'ai dit plus haut, je suis tout en finesse et en longueur.Mon mètre quatre-vingt et mes cinquante-cinq kilos sont là pour le prouver.Je n'en suis pas pour autant fragile.Là encore, j'ai une preuve.Mon torse imberbe et finement musclé.J'ai donc une fine carrure poursuivit par des bras tout aussi fin et terminer par des mains aux longs doigts de pianiste.Enfin, j'ai des jambes interminables qui me permettent de courir à la vitesse du vent.Au niveau tenue vestimentaire, je porte de tout.Des chemises, des tee-shirt, des polos, des sweats ou des sweat-shirt.Et toutes les couleurs ou presque.Noirs, blancs, kaki, vert, bleu, rouge bref.Toutefois au niveau du bas, je préfère porter des jeans.Et pour confirmer le tout, une paire de tennis ou de converse.


Histoire (9 lignes minimum): Mon histoire...Désespérante et désastreuse.Elle avait pourtant bien commencé.Je suis né un certain 3 Février 1992.Si j'avais pu savoir à quel point le futur qui m'attendait était sinistre, croyait moi sur parole, je serais rester bien au chaud, éternellement, dans le ventre de ma mère.Mais bon, on a pas vraiment le choix et notre avis n'est pas vraiment pris en compte.Et puis, je ne L'aurais pas connu.Elle a vu le jour deux ans après moi.Ma sœur est née, ma mère est morte.Elle n'a tout simplement pas survécu à l'accouchement.Je n'ai pas tout de suite compris.Je me demandais juste pourquoi ma mère n'était pas là et pourquoi mon père pleurait.Je n'avais que deux ans après tout.Toute l'atrocité du monde m'était encore inconnu.J'étais encore dans l'innocence de l'enfance.Ma sœur elle, en avait encore moins conscience.C'était un nourrisson.Peu à peu, mon père cessa de pleurer, de déprimer en quelque sorte et il retrouva sa joie de vivre même si, au fond de lui, il était blessé à vie.Une blessure qui ne guérirait jamais.Je me rappelle de ce que qu'il me disait quand je lui demandais où était maman.

-Elle est dans les étoiles me répondait-il.

Une si jolie réponse sortant d'une bouche aussi ignoble.Mais je m'avances trop dans l'histoire.N'allons pas si vite, ne sautons pas des étapes.Il faut savoir que malgré la mort de ma mère, j'ai grandi dans le bonheur.Je riais, jouais, boudais comme tout les autres enfants.J'étais très proche de ma sœur.Elle ressemblait trait pour trait à notre mère.Je n'avais que deux ans lorsqu'elle est morte, pourtant j'avais conservé dans ma mémoire de nombreux souvenir d'elle.Tous heureux.Lorsque nous avions fêter Noël, lors de mon anniversaire, mais aussi quand elle jouait avec moi, quand elle venait me border ou quand elle me consolait lorsque je me faisais mal.Mon père s'étonnait beaucoup qu'il me restait autant de souvenirs d'elle.Lui ne voulait pas en parler.Chaque fois qu'on lui parlait de maman, son visage s'assombrissait et il changeait de sujet rapidement.Alors on n'insistait pas.
Peu à peu, les années passèrent.Tout allait pour le mieux.J'avais dix ans et Amandine huit.Nous travaillions déjà très bien pour notre âge et notre père était très fier de nous.Pour lui aussi tout allait bien.Du moins, c'est comme ça que je l'interprétais.Étant encore jeune, je savais pas grand chose du travail des adultes etc.Mais la bonne humeur ne le quittait pas je traduisais alors cela comme un signe signifiant que tout allait bien.Pourtant, il y avait quelque chose qui avait changer.Je n'aimais pas la façon dont mon père regarder Amandine.Je ne savais pas pourquoi mais ça ne me plaisait pas.Il l'a regardé comme si elle était un gâteau au chocolat qu'il allait manger.J'avais dix ans.J'étais jeune.J'ai vite oublié.Je n'aurais pas dû.Dans les années suivantes, de nombreuses choses ont changées.Dont moi.Surtout moi.Le regard que je portais sur mon père avait changé.Auparavant, je le regardais avec admiration, respect.Je voulais lui ressembler.Lui, cet homme qui a réussit à élever deux enfants seul, lui qui a sut les éduquer avec tout l'amour nécessaire, lui qui savait tout sur tout ou presque.Mon idole.J'avais beaucoup trop vite oublié ce regard pervers qu'il avait lancé à ma sœur.Bientôt, ce regard devint permanent.Chaque fois qu'il posait les yeux sur ma sœur, c'était pour la caresser avec ce regard répugnant.Et chaque fois, la peur tordait mon estomac.Peur de quoi ? Je ne le savais pas.J'avais treize ans à l'époque.Toujours et encore trop jeune pour comprendre.En vérité, je savais parfaitement ce qui allait venir.Je ne voulais simplement pas me l'avouer.M'obligeant à croire qu'il allait changer.Que ce qui allait arriver n'était qu'un cauchemar, qu'une illusion qui allait disparaître.Je le savais au fond de moi et je n'ai pas réagis.J'avais trop confiance en ce monstre.Je croyais trop en lui.Aujourd'hui encore je m'en veux.Je ressasse sans arrêt cet instant.J'aurais pu éviter toute ses souffrances.Une fois encore, je m'avances trop.Je sais parfaitement que vous avez deviner ce qui va se passer.Mais je veux vous le faire vivre.Pour que vous compreniez toutes les souffrances endurées. Je m'étais énormément rapproché de ma sœur.Ce n'était pas bien compliquer.Je me rapprochais d'Amandine et m'éloigner de mon père.Le dialogue entre lui et moi était devenu impossible.Si l'on s'adressait la parole s'était pour se crier dessus et se disputer.Bon sang, si vous saviez la haine que j'éprouvais lorsque je le voyais caresser Amandine un peu trop intimement, lorsqu'il glissait doucement ses mains de vieux pourri sur ses fesses.J'essayais au maximum de l'en empêcher, de m'interposer ou autre.Mais je n'étais pas tout le temps là.Si vous savez comme je le regrette maintenant.Depuis quelques temps, je dormais avec ma sœur.Je ne n'aimais pas la voir trop loin de moi.Alors imaginer ma joie quand elle se blottissait contre moi et que je pouvais l'encercler dans un geste protecteur, sans mon père vienne s'interposer ou m'engueuler.Ça durait pendant quelques temps avant que mon père ne se rende compte de notre petit manège.Il était hors de lui.Je m'en rappelle encore.Il était entré dans la chambre de ma sœur et m'avait vu dans son lit, l'enlaçant.Il m'avait alors ordonner de sortir et m'avait pris par la nuque.Je ne l'avais jamais vu dans cet état.Il était tellement furieux qu'il semblait être sur le point d'exploser.Il m'avait entraîné de force dans ma chambre, m'avait violemment jeté sur le lit avant de me mettre une claque phénoménal.

-Je te revois encore une fois dans ce lit, et c'est pas main que tu vas prendre dans la figure, mais mon poing !!! Ne l'approches plus, tu m'entends !! avait-il crié avant de sortir en claquant la porte.

J'étais resté indifférent face à la douleur que me provoquait ma joue brûlante.Une douleur plus violente encore montait au fin fond de mes entrailles.Celle de la haine.Dévastatrice, quémandant une vengeance inoubliable.Me priver de ma sœur était la chose qui m'affectait sûrement le plus.Il allait payer.Rien que pour ça, il allait le payer.Et très chère.Mais ces mots étaient bien faible par rapport au sentiment que j'allais ressentir deux ans plus tard, lors de ma seizième années.
Je savais que quelque chose allait arriver.Je le pressentait, ça ne s'expliquait pas.Je me rappelle de ce jour comme-ci c'était hier.J'en cauchemarde toutes les nuits.Ce souvenir me hante, me poursuit.Je suis coupable.Tout est de ma faute.Je m'en veux tellement....
Je revenais de deux heures de sport intense.Je n'étais pas particulièrement fatigué, mais j'avais beaucoup transpirer et j'avais réellement besoin d'une douche.Mais j'avais plus important à faire. Aujourd'hui ,n'était pas n'importe quel jour.C'était l'anniversaire de ma sœur.J'avais absolument tout organisé.Tandis que je prenais le parfum mangue-vanille enveloppé dans un joli papier crépon noir ficelé avec un ruban vert et une très belle carte, je me remémorais le programme.Elle allait voir le cadeau, j'allais ensuite l'emmener au restaurant puis nous irions à la plage nous balader, juste elle et moi.Oui, ça allait être une belle soirée.Juste nous deux.Sans Papa pour nous coller au bask'.J'entrais discrètement dans sa chambre, déposais le cadeau et la carte de façon voyante sur son lit, et retournais dans ma chambre tout en évitant de faire le moindre bruit qui aurait trahi ma présence et aurait définitivement gâcher la surprise.Une fois dans ma chambre, je prenais un boxer, un pantalon et un tee-shirt propre et me dirigeais vers la salle de bain pour aller prendre ma douche.Me déshabillant à toute vitesse, je me jetais avec plaisir sous l'eau brûlante.Détendant tout mes muscles rendus douloureux par les rudes efforts que je venais de fournir en sport, je me lavais soigneusement et me rinçais en traînant un peu sous l'eau.Enfin, jugeant avoir assez vidé le ballon d'eau chaude, je sortais de la douche, enroulais une serviette autour de ma taille et me séchais activement les cheveux.Puis, j'enfilais mon boxer et mon pantalon après avoir ouvert la fenêtre afin de chasser toute la vapeur d'eau sur la glace.C'est à cet instant que mon cauchemar débuta.A cet instant que plusieurs hurlements déchirants retentirent, me glaçant le sang.Je reconnaissais cette voix.Amandine.Je ne l'avais jamais entendu crier ainsi.La haine me voila les yeux et prit entièrement possession de mon corps.Oubliant d'enfiler un tee-shirt, je pris un de mes nombreux poignards qui se trouvait dans la poche de mon pantalon sale, et m'élançais à travers les couloirs de la maison.Les cris provenaient de la chambre de mon père.Endroit où ni Amandine ni moi n'étions allé.Une boule d'angoisse se forma au niveau de ma gorge tandis que ma main se posait sur la poignée de porte qui permettait d'accéder aux appartements de mon père.Je l'ouvrais violemment et poussais un hurlement de rage tout en fonçant sur mon paternel.Je le percutais brutalement et le poussais contre le mur.Là, je le prenais par la gorge et le soulevait.Ses pieds ne touchaient plus le sol et ses yeux exprimaient la panique.J'avais vu la scène une demi-seconde seulement.C'était la demi-seconde de trop.Qui aurait crut que ce temps aussi court allait me hanter aussi longtemps et avec autant d'horreur.J'avais vu ce qu'il lui faisait.La plaisir qu'il éprouvait, sa joie.Mais j'avais aussi vu la douleur de ma soeur, sa peur, son dégoût, sa tristesse.Je voulais le briser, le détruire.Il n'y avait pas de mots assez fort pour exprimer la haine que je ressentais.Soudain, un sourire pervers se dessina sur les lèvres de mon père.Rien que le fait de l'appeler comme ça me dégoûter.C'était un monstre.

-T'es déçu hein ? Tu voulais être le premier avoue !!

Un coup de poing dans les côtés le fit taire.

-Ta gueule !!

-Je le savais.Tu voulais lui passer dessus en premier.Pas de chance.T'as essayé par les sentiments, j'ai essayé par la force.J'ai gagné, t'as perdu.

Cette fois-ci, je plaçais mon couteau sur sa gorge.

-Ta gueule salopard !! T'es ignoble.Une pourriture.Tu vas crever.Je vais te tuer.

Là, il éclata de rire, faisant s'enfonçait la lame de mon couteau dans sa gorge.Un filet de sang se mit à couler le long de son cou tandis qu'une lueur d'inquiétude anima ses yeux.

-Tu sais pourquoi j'ai fait ça ? Elle ressemble tellement à ta mère...C'est de sa faute si elle est morte !!

-Elle n'y est pour rien et tu le sais.

Mon poignard s'enfonça un peu plus dans sa gorge tandis qu'il grimaçait de douleur.

-Tu ne me tueras pas.Je suis ton père après tout.Tu ne pourras jam...

Un gargouillement d'agonie termina sa phrase.Je venais de lui planter avec violence mon poignard dans le ventre, l'avait férocement remonté jusqu'au sternum et l'avait tourné avant de le retirer brutalement.La lueur dans les yeux de mon père s'était éteinte et je savais que c'était fini.Ma haine ne fut pas apaiser pour autant.Je déchiquetais sauvagement, à l'aide de mon poignard, sa gorge jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un semblant de chair et d'os.Là, je lâchais le corps sans vie de mon père, courut jusqu'à ma sœur, la prit dans mes bras et fondit en larmes.

J'observais les peluches disposaient sur une étagère.J'avais dévalisé près de la moitié du magasin en seulement quelques mois.Il fallait que je me dépêche de choisir.Je n'aimais pas être loin d'Amandine trop longtemps.Ce n'était pas parce qu'elle n'avait pas conscience de ce qui l'entourait qu'il fallait la laisser seule.J'optais pour un gros lapin bleu avec un ruban vert à chaque oreilles et me dirigeais vers la caisse.Tout en payant, je me remémorais les quelques mois qui avait suivit l'accident.Tout était un peu flou et je ne me rappelais pas de certains souvenirs.Après avoir tué mon propre père et brouiller les pistes qui remonté jusqu'à moi, j'avais appelé les pompiers et la police.Ils étaient rapidement venus sur place.Tandis que les policiers m'avaient questionner, les pompiers avaient emmené Amandine à l'hôpital.Elle ne s'était toujours pas réveillé.Les forces de l'ordre ont crus à mon mensonge dans lequel je disais que je prenais une douche et n'avait donc rien entendu.J'avais suffisamment pleurer pour avoir les yeux rouges et le non-réveil de ma sœur m'avait tellement bouleversé que j'étais aussi pâle qu'un cadavre.Aussi pâle que mon père.Son corps n'était pas beau à voir et rien qu'y penser me donnait des haut-le-cœur.J'avais finalement pu aller voir ma sœur à l'hôpital.La nouvelle qui m'attendait là-bas m'arracha encore des larmes.Les médecins m'avait expliqué qu'elle était dans le coma et qu'il était peu probable qu'elle se réveille un jour.C'est à ce moment-là que j'ai vu mon monde s'écrouler.Plus rien n'avait de saveur, de goûts, tout était fade et triste.L'enquête sur l'assassin de mon père dura longtemps et fut finalement abandonné.Ce qui m'arrangeait un peu.La première bonne nouvelle que je recevais depuis des mois.L'enterrement de mon père se passa normalement.Je dus serrais les dents pour ne pas détruire le cercueil à coup de hache et dus me forçais à pleurer.Mais dans l'ensemble tout se passa sans encombre.Je n'attendais plus qu'une chose.Le réveil de ma sœur.Une routine s'était installé.Je me réveillais à l'hôpital ( j'avais refuser de rentrer chez moi et les médecins , par compassion, m'avait installé un lit à côté de celui d'Amandine ) je me lavais, déjeunais, restais au chevet de ma sœur toute la matinée, mangeais à midi, partais acheter une peluche, l'installais dans sa chambre et revenais à son chevet.Et ainsi de suite.Sans qu'Amandine ne se réveille.Sans qu'elle ne bouge un seul cil.Mais je ne désespérais pas.Sans arrêt je la suppliais de revenir à la vie.D'ouvrir les yeux et de me sourire.Cet après-midi là, alors que j'étais revenu au chevet de ma sœur et m'étais maladroitement endormi, après avoir déposé le lapin sur son lit, mon vœu, mon souhait le plus cher fut exaucé.Pour la première fois depuis près d'un an, Amandine ouvrit les yeux.
Ce fut une légère pression à la main qui me tira de mon lourd sommeil.Croyant avoir rêvé, j'avais ouvert les yeux pour mieux les refermés, quand je les aies aperçu.Deux yeux marrons teintés de rouge.Deux magnifiques infinités brunes remplis d'incompréhension.Mes yeux s'embuèrent et tandis que les larmes coulaient à flot sur mes joues, je serrais Amandine dans mes bras.Elle avait l'air complètement désorienté et ne paraissait pas me reconnaître mais je m'en fichais.Elle était vivante et c'était ce qui compter.Je pleurais pendant des heures, ne pouvant plus m'arrêter.Les larmes coulaient inlassablement et rien ne semblait pouvoir les arrêtées.Pourtant, elles stoppèrent d'un coup, et je pouvais enfin parler et respirer correctement.Quand les médecins avaient appris que ma sœur c'était réveillée, ils étaient tous arrivé en masse, ne pouvant croire à ce miracle.Ils l'avaient examiner et l'un d'eux m'avait fait son rapport tandis que l'infirmière tentait d'expliquer à Amandine tout ce qui s'était passé.En effet, ma sœur était amnésique.C'était temporaire mais il était possible qu'elle ne se souvenait plus de certaines choses.Au fond de moi, je priais pour qu'elle ne se rappelait pas cette affreuse nuit.Et visiblement, ça avait fonctionné.Nous étions revenus chez nous avec l'autorisation des médecins.Amandine m'avait confié que tout lui revenait sauf cette fameuse nuit qui marquait le début de son coma.Je restais vague à ce sujet, répondant par mono-syllabe ou ignorant ses interrogations.Je n'avais aucune envie de lui dire toute l'atrocité que mon père lui avait fait vivre.C'était hors de question.Mais ma sœur ne l'entendait pas de cette oreille.Il était évident qu'elle se doutait de quelque chose et elle voulait savoir.Elle me bombardait sans arrêt de questions, cherchant toujours à savoir le pourquoi du comment elle s'était retrouvé dans le coma et ce qui s'était passé cette nuit-là.Un jour, j'en ai eu marre.J'étais à bout et Amandine avait posé la question de trop.Je n'avais pas pu me contrôler.Ma main était parti toute seule, et l'avait frapper à la joue, avec suffisamment de violence pour la projeter à terre.Fondant en larmes, je me laissais tomber à genoux devant elle et la prit dans mes bras.Comment avais-je pu ? Comment avais-je osé ? Je balbutiais mille excuses inintelligible, priant de toute mes forces pour qu'elle me pardonne.Pourquoi avais-je frappé la fille que j'aimais ? Oui, que j'aimais.C'était lorsqu'elle était plongé dans le coma que j'avais pris conscience de mes véritables sentiments.Ce n'était pas de l'amour fraternel.C'est plus que ça.De l'amour à l'état pur.J'aimais ma sœur.J'aimais un membre de ma famille.Je m'en fichais.Seul mes sentiments envers elle comptaient véritablement.C'était la raison pour laquelle je lui avais doucement relevé la tête, séchais ses larmes et posais mes lèvres sur les siennes avec une tendresse absolue. Elle fit de moi l'être le plus heureux de la terre lorsqu'elle me rendit mon baiser.Un baiser passionné et tendre à la fois.Aux couleurs de l'avenir.Un avenir qui promettait d'être dur, mettant nos liens et notre amour à rude épreuve.Et nous en avions eu la preuve quelques semaines plus tard.Nous nous aimions.Personne ne pouvait le nier.Je n'avais jamais aimé quelqu'un comme ça et je voulais rester avec elle éternellement.Malgré ces pauvres arguments pour justifier notre amour, les membres de notre famille était entré dans une colère noire.Nous traitant de monstre, d'impur, d'inceste.Nous faisions honte à notre lignée.Nous avions salis notre foyer.Ils avaient alors décidé de nous déshérité et de nous mettre à la porte.Sans rien.Sans de quoi vivre.En l'espace de quelques semaines, j'avais trouvé l'amour et avait perdu la richesse.Je m'en foutais pas mal.Tant que j'étais avec Amandine, tout allait pour le mieux.Pourtant, pendant un mois, nous en avions baver.Faire la manche est une chose humiliante.La façon dont les gens vous regardes, vous méprise.Tout cela vous rabaisse.Avec leurs airs supérieur, ils vous font comprendre leur supériorité et vous remette à votre place.Il fallait voler pour survivre.J'avais beaucoup maigri mais j'avais gagner en puissance.Croyez-moi, les combats de rues ne sont pas si inoffensifs que ça.Ils m'ont forgés.C'est grâce à eux si j'ai pu être accepté dans le comité de discipline.C'est Amandine qui avait trouvé le prospectus.Une annonce pour une pension où un immense héritage était en jeu.Le but était évidemment de le remporter.Ma sœur et moi décidions de nous y inscrire.Nous avions été accepté et étions même rentrer dans le comité de discipline.Rester plus qu'à remporter l'héritage...



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Dernière édition par Aymerick Owens le Ven 23 Oct - 14:10, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Aymerick Owens [ Fini ]   Aymerick Owens [ Fini ] EmptyDim 18 Oct - 23:49

Bienvenue sur le forum! ^^

Bon courage pour la suite! (ton histoire me fait froid dans le dos surtout là ou tu l'as interrompue O.O)
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MessageSujet: Re: Aymerick Owens [ Fini ]   Aymerick Owens [ Fini ] EmptyVen 23 Oct - 14:11

Après avoir édité une dizaine de fois, j'ai enfin terminé ma présentation x) Désolé pour le retard.
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MessageSujet: Re: Aymerick Owens [ Fini ]   Aymerick Owens [ Fini ] EmptyVen 23 Oct - 17:57

Validé! par contre ton avatar est un chouïa trop grand ^^'
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MessageSujet: Re: Aymerick Owens [ Fini ]   Aymerick Owens [ Fini ] EmptyVen 23 Oct - 18:21

Je l'ai rétréci, c'est mieux ?
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MessageSujet: Re: Aymerick Owens [ Fini ]   Aymerick Owens [ Fini ] EmptyVen 23 Oct - 18:47

Impec' merci!^^
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