Batailles incompréhensible dans la bibli' ! (Libre !!!!!!!)

Les réveilles sont parfois douloureux... Mais la journée qui m'attend compense largement ses inconvénient !

Le rêve était bien présent et je pêne encore à y croire. Nous étions arriver moi et on frère, il y a environs une semaine. Mais nous étions rester discret. J'avais était sermonner par Aymerick qui m'avait ordonner de me tenir tranquille un peu. Se que je fis, mais dans le fond, maintenant j'avais envie de sauter partout. Voilà, pourquoi se matin, j'avais entrouvert doucement la porte de notre chambre. Après avoir éviter les nombreuse peluche et autre jouer qui joncher le sol. En une semaine j'avais installer mon petit monde dans cette grande pièce ou trônait dans un coins un lit à baldaquin. Je l'avais décorée à mon goût, les mur était recouvert 'une sorte de tapisserie rayer de nombreuse couleur très claire. La moquette était jaune clair, sur les murs des photo et autre décorations dont de nombreux magnifique dessin que grand frère avait fait. Un grand bureau avait était installer près de la baie vitrer, c'érait mes ancien meuble, un ordinateur portable, d'une belle teinte verte était brancher et montrer la page internet de youtube. Un vidéo, mis en pause, de musique totalement débile avait était écouter de moitié. Une pile de livre n'était pas très loin. Mais surtout, le plus bizarre était ses nombreux instrument mis à la vas vite dans un coins de la pièce. Tout y était, et je savait tout jouer ! Je n'avais pas vraiment demander à Aymerick son avis, mais je ne regrettais pas. J'étais têtu et je ne changeais que très rarement d'avis... Même avec lui. Je jeta un bref coup d'oeil affectueux à mon lit deux places, où mon frère dormait paisiblement. Vetu d'un slim jaune fluo, et d'un débardeur vert pomme je partit dans mes converse rose bonbon à la découverte entière de l'école. Mes cheveux, teint d'une légère couleur verte, partant à l'eau, virevoltait dans l'air. Je sautillait, danser et chanter des sonnettes pour m'amuser. Ma douce voix résonnait dans le couloir. J'étais d'excellente humeur, et je vivait en plein dans un rêve. Qu'elle sensation agréable d'être amoureuse d'une personne qui ne vous trahira jamais, et qui partage vos sentiments. Si vous ne la connaissez pas, cette merveilleuse sensation, je peut vous promettre que rien ne peut être plus beau au mondes. Mais notre relation est si bizarre, si forte. Peut être le fait que nous ayons le même sang, que nous soyons frère et soeur, renforce nos liens, notre amours... Enfin bon, j'avais juste envie de m'amuser. Et peut être quitter le « cordon ombilicale » qui était lier entre moi et Aymerick. Mais dans le fond 'j'avais envie qu'il me cherche dans la pension et qu'on puisse s'amuser ensemble quand il m'auras trouver. Mais pour le moment il fallait bien que je m'occupe. Voilà pourquoi je me dirigeait au hasard dans les couloirs, un véritable dédale, du lycée. Puis après avoir tout visiter je tomba sur la dernière salle encore inconnue. Je ne savait pas trop se que j'allais trouver vue le bruit qui proveneait de la pièce. Posant doucement ma main sur la poignet j'ouvris la porte et rentra dedans Enfin, heureusement que 'j'avais de bon réflexe car je me baissa évitant une chaise qui avait flécher dans ma directions ! Tout le monde se battait, tout voilà,t les livres, les chaises, les tables etc. … Attrapant une cuillère qui traînait dans ma poche je me jeta dans la bataille. C'était hilarant, je 'n'avais pas vaincue cela depuis longtemps, des coups partait dans tout les sens, des objet se baladait dans la bibliothèque. Quelqu'un réussi à m'assener un coup de poing, mais il finit vite projeter contre une étagère. J'étais vraiment morte de rire, et je trouvais cela parfaitement intéressant J'étais contente d'être mêler à cette bataille stupide, ou bizarrement des moutons se baladait. Ils se faisait tuer de sang froid, et des personne vêtu de longue cape en laine essayait de protéger les animal. Décrétant qu'on devais assassiner ses bête bêlante, j'aidai mes camarades, m'amussait formidablement ! Mais un hurlement, nous fit tous arrêter, je trouvas mon frère devant la porte, hurlant mon nom. Nous étions tous hébaie, et moi en première. Je resta figer le dévisageant...

Je cauchemardait.Encore.Exactement le même cauchemar que d'habitude.La même horreur, la même douleur, la même impuissance.Tout y était comme d'habitude.J'avais beau avoir fait cet affreux rêve pratiquement toutes les nuits, ces sentiments n'avaient pas faiblis en intensité.Ils étaient toujours aussi fort, aussi touchant.Au début, le cauchemar commencé bien.J'offrais à Amandine son cadeau d'anniversaire.Elle était heureuse et riait aux éclats.C'est à ce moment là que tout se gâtait.Mon père entrait dans la chambre et la violait sous mes yeux.J'étais impuissant.Ne me demandait pas pourquoi, je ne pouvais pas bouger.Je ne pouvais esquisser un seul geste.Et j'entendais ma sœur hurlait de douleur, criait mon nom.Je me réveilla en sursaut juste lorsque mon père s'apprêtait à la tuer.Comme d'habitude, les larmes roulaient abondamment sur mes joues sans que je puisses y faire quelque chose.Les essuyant machinalement, j'entrepris de me calmer.Chaque nuit, je revivais ça.Chaque nuit, j'entendais ses cris de souffrance.Tout ces cauchemars avaient forcément des répercussions désastreuses sur mon sommeil.Je dormais affreusement mal.Soupirant, je passa une main dans mes cheveux tandis que je me redressa dans mon lit.Je remarqua avec exaspération que j'étais seul dans mon lit.Amandine était encore parti vadrouiller dans la pension.Poussant un grognement, je me laissa retomber sur mon matelas et plaça la couette sur ma tête.Je resta ainsi quelques minutes, pensant à tout et à rien.J'avais envie d'enlacer et d'embrasser Amandine.En ce moment, j'avais besoin d'elle, de sa présence, de son sourire.Mais la plupart du temps elle se réveillais avant moi et partais explorer la pension et les alentours.Je ne pouvais pas me comporter aussi proche d'elle en dehors de notre chambre.J'étais sûr à 99 % environs que si nous nous exposions devant eux, les autres nous rejetteront.Je me contentais alors de frôlements de mains, de baisers volés rapides et discrets et de regards emplis d'amour.C'était déjà bien me diriez-vous.Oui.Mais moi j'avais besoin d'un véritable contact.Pas de petits gestes inoffensifs de temps à autres.Soupirant derechef, je me leva et me dirigea vers mon armoire.C'était véritablement le parcours du combattant.Des peluches, des petites babioles et autres jonchaient le sol.J'avais laissé Amandine s'occupait de la décoration de la chambre.Maintenant, je me dis que je n'aurais pas dû.Non pas que la déco' me déplaisait.C'était assez joli mais franchement, les peluches et tout ça, c'était pas vraiment mon genre.Mais je ne pouvais rien y faire.Amandine était plus têtu qu'une mule et si je lui demandais de modifier une chose, ce serait un non catégorique de sa part.J'atteignis enfin mon armoire et pris un boxer, une paire de chaussettes, un jeans et un polo noir.Je partis ensuite en direction de la salle de bain et pris rapidement une douche.Je m'habilla tout aussi rapidement après m'être séché, puis sortis de la chambre.J'avais une flemme d'enfer et n'avais aucune envie de faire le lit.Bah, je le ferais plus tard.Je pris une grande inspiration, plaça mes mains dans mes poches et me lança à la recherche d'Amandine.La pension était immense.Je demandais à certains s'ils n'avaient pas aperçu ma sœur.Sur les dix auquel j'avais posé cette question, seul deux ou trois étaient capable de me donner une direction vague accompagné d'un geste tout aussi flou de la main.

*Super..Ben j'suis bien avancé avec ça moi..*

Je traversa je ne sais combien de couloirs, descendis et monta plus de dix escaliers et parcouru sans doute plusieurs centaines de mètres sans un seul signe d'Amandine.Soupirant d'exaspération, je m'adossa à un mur.J'allais finir par croire qu'elle était parti se promener dans les alentours.J'en avais réellement marre et l'inquiétude commençait à poindre le bout de son nez.Je me maudis intérieurement lorsque je me rendis compte que j'avais oublier mon mp4 et mon casque sur mon bureau.Dans la précipitation, je les avais laissé dans ma chambre.

*Magnifique..Manquait plus que ça..*

Soudain, alors que j'allais remonter un escalier, des cris et des rires me parvinrent.Il venait de ma droite.Fronçant les sourcils, je me dirigea vers la source du bruit.Un rire retentissait plus fort que les autres.Je reconnu avec une facilité déconcertante la voix d'Amandine.Bon sang, elle était là.J'ouvris violemment la porte et hurla à pleins poumons le prénom de ma sœur.Elle se tenait à quelques mètres devant moi, un air surpris sur le visage.Enfaite, tout les élèves présent dans cette salle, qui était en vérité une bibliothèque, me regardait, stupéfait.Mes yeux gris lançaient des éclairs et quiconque croisait mon regard, baissait les yeux.Je marchais vers Amandine, me plaça à ses côtés et murmura :

-Je t'ai cherché partout..J'étais inquiet, tu aurais pu me prévenir au moins..

Puis, je poursuivais à voix haute :

-Surtout s'il s'agissait de se battre.

Je défiais les autres du regard et lança un couteau avec une rapidité impressionnante vers un mouton.Signe que le combat reprenait.Tout le monde reprit le combat avec une énergie incroyable.Moi-même me lançait à corps perdu dans cette bataille.Je virevoltais, prenais des risques.Évitais à la dernière seconde un coup qui m'aurais décapiter, passer à un millimètre d'une lame qui m'aurais ouvert le ventre.Toutefois, je faisais attention à ne pas tuer mes victimes.Je ne faisais que les assommer ou les blesser légèrement, contrairement aux autres qui ne prenaient pas de gants.Je gardais un œil méfiant en direction d'Amandine.C'était idiot.Elle savait très bien se battre.Pourtant, chaque fois qu'une personne s'approchait d'elle pour engager le combat, je ne pouvais que lui vouer une haine féroce et mourir de peur pour ma sœur.Pour ces personnes là, je faisais une exception.Quand Amandine ne les blessait pas trop, j'achevais le travail avec une immense satisfaction.

Qu'elle amusement, qu'elle incompréhensions, que de sang, de cadavre de mouton et d'élèves... Des rires des survivants, quelques aides au blessait, j'observai tout cela. Ne faisant pas grande attentions à Aymerick je m'approcha d'un jeune garçon qui soignait un à un les blessait. Je l'avait longuement observer et l'adolescent blond au yeux vert savait très bien se battre. Posant rapidement ma main sur son épaule je sourit gentiment, et entreprit de me présenter de ma douce voix éternellement crystalline.

-Je suis Amandine Owens, enchantée !

-Dimitri Jenkins, moi de même !

Il sourit tout en me donnant une accolade précise. Nous nous étions souvent parler et croiser au hasard dans les couloirs, mais je n'avait jamais prit la peine de lui demander son nom. Regardant pendant de longue minutes son beau visage souriant, je me taisait. Finalement, prenant moi aussi la trousse de premier soin, je l'aida à finir son travail.

-Tu te bat très bien ! J'ai vraiment état impresionner en te voyant combattre !

-Et toi alors !!! Une jeune fille comme toi, c'est exceptionnelle !

Je rougit de plaisir, il me flattait et je n'osait lui dire d'arrêter. Finissant un bandage je ramenna mon attentions à mon cher frère jumeau. Me levant tout de suite en m'apercevant qu'il était blesser, j'entrepris de la soigner avec une grâce et une douceur incomparable.

-Al' ! Je te présente Dimi', enfin pardon Dimitri. Je l'est rencontrer en début de semaine, il est très gentil avec moi !

Je sourit et fit un magistral mouvement de main vers l'apollon blond. Celui-ci s'inclina et tendit ça main vers mon frère.

-Ravis, grande frère de princess Amandine.

Le visage légèrement pencher, je m'assis à même le sol, en tailleurs. Souriant de toute mes dents.

Je fus non pas vexer mais plutôt blesser qu'Amandine ne me prête que si peu d'attention.Je savais parfaitement que je la couvais de trop et qu'il fallait que je la laisse respirer et vivre tranquillement sa vie, en toute liberté.Elle n'avait nullement besoin qu'une personne soit sur son dos en permanence mesurant chacun de ses faits et gestes.C'était une adolescente après tout, elle avait envie d'autonomie et je pouvais comprendre mieux que personne ce désir.Cependant, elle ignorait ce que notre père lui avait fait subir, tout le mal qu'il lui avait fait enduré et ça, moi je le savais.J'avais entièrement conscience de tout ce qui c'était passé, d'être arrivé trop tard, de l'avoir laissé la toucher et au final, de l'avoir tué.Tout ceci et au millimètre près, je me le rappelais chaque jour, chaque nuit, chaque heure, chaque minute et chaque seconde de mon existence.Ce passé abject hanté chaque centimètre de ma vie, chaque parcelle de ma peau et chaque partie de ma tête.Je ne pouvais réfléchir en paix sans qu'une image infâme apparaisse devant mes yeux, je ne pouvais écouter l'agréable chant du silence sans que les hurlements de douleurs de ma sœur ne résonnent à mes oreilles, ça en devenait invivable.Pourtant, ce secret que je gardais, je ne pouvais le confier et surtout pas à Amandine.Elle avait droit de goûter au bonheur, de se sentir heureuse et d'être pleine de joie de vivre.La voir comblé par la vie me fournissais les forces suffisantes pour que je résiste et que j'évite de craquer.Ce serait une faute inexcusable et si jamais je la commettais, je ne pourrais me le pardonner.C'était ainsi.Mon plus grand bonheur était de voir ma sœur heureuse, et rien d'autre.J'étais là, perdu dans le vague, planté au milieu du champs de bataille, regardant Amandine discuter avec un jeune homme au physique bien plus qu'avantageux.La jalousie était là, me rongeant intérieurement. Pourtant, je ne fis aucun acte stupide et irréfléchi.Cet adolescent faisait sourire et même rougir ma sœur, je ne pouvais lui en vouloir.Souriant tristement, j'oubliais que j'étais encore dans une axe de combat et perdu dans ma contemplation, je ne pus éviter le couteau qui fusait vers moi.Le lancé avait été mal calculé et l'arme ne fit qu'effleurer mon bras ce qui suffit pourtant amplement à ouvrir une blessure qui se mit directement à saigner.

*Et merde..*

Cherchant du regard le propriétaire du poignard, je le repéra facilement, pile devant moi, une lueur de défi dans le regard.Me retenant d'éclater de rire tant je trouvais la situation désopilante, je lança agilement un de mes couteaux qui partit comme une flèche pour atteindre sa cible, dans le cas présent, le ventre du jeune imprudent.Satisfait, je ne pus me délecter de ma victoire plus longtemps car Amandine m'avait entraîné hors du champ de combat pour soigner ma plaie.La douceur et la grâce dont elle fit preuve pour bander ma blessure, me plut agréablement et une folle envie de l'embrasser me traversa vivement l'esprit avant que je ne la chasse.S'exposer ainsi n'était pas une bonne idée.Ainsi, je me concentra donc sur la conversation ou plutôt sur la présentation de ce Dimitri.Hochant la tête avec un petit sourire, je lui serra amicalement la main avant de la ramener dans l'une de mes poches.

-De même.Je te remercie d'être aussi gentil avec elle.

» Rencontre TOUT A FAIT innatendue et impromptue dans les douches ['Croyez vraiment qu'on va taper a belote peut être? x)]